mardi 4 octobre 2011

Le lâcher-prise



Le lâcher-prise

Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.

Lâcher-prise, ce n’est pas couper les liens mais prendre conscience que l’on ne peut contrôler autrui.

Lâcher-prise ce n’est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un évènement.

Lâcher-prise, c’est reconnaître son impuissance, c’est-à-dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.

Lâcher-prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même.

Lâcher-prise ce n’est pas prendre soin des autres mais se sentir concerné par eux.

Lâcher-prise, ce n’est pas “assister” mais encourager.

Lâcher-prise, ce n’est pas juger, mais accorder à autrui le droit d’être humain.

Lâcher-prise, ce n’est pas s’occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.

Lâcher-prise, ce n’est pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.

Lâcher-prise, ce n’est pas rejeter, c’est au contraire accepter.

Lâcher-prise, ce n’est pas harceler, sermonner ou gronder mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s’en défaire.

Lâcher-prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier.

Lâcher-prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui, mais s’efforcer de devenir ce que l’on rêve de devenir

Lâcher-prise, ce n’est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l’avenir.

Lâcher-prise, c’est craindre moins et aimer davantage.





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